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Journal

Mitteilung 2020-03-18 [A*dS Actualité]: Concernant: Le virus Corona

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Mitteilung 2024-05-13 [«Viceversa Literatur 18»]: Das «Viceversa Literatur» ist zum 18. Mal erschienen!

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Mitteilung 2024-05-10 [Felix Uhlmann «Der letzte Stand des Irrtums»]: Dominik Müller bespricht Felix Uhlmanns «Der letzte Stand des Irrtums» für Viceversaliteratur.ch.

Journal

Mitteilung 2024-05-07 [Solothurner Literaturtage]: Diesen Freitag ist es wieder so weit – die Solothurn Literaturtage beginnen.

Journal

Mitteilung 2024-04-30 [Anna Stern «blau der wind, schwarz die nacht»]: Tobias Lambrecht bespricht Anna Sterns neuen Roman «blau der wind, schwarz die nacht» auf Viceversaliteratur.ch.

Journal

Mitteilung 2024-04-22 [Die Frauen der Gruppe 47 – Literaturhaus Basel]: Im Literaturhaus dreht sich am 24.4.24 alles um die Frauen der Gruppe 47. Und darum, warum sie heute so gut wie vergessen sind.

Journal

Mitteilung 2024-04-18 [Literatur Parade Turin]: Deutschsprachige Literatur als Ehrengast der Internationalen Buchmesse in Turin.

Conseil de lecture

Jens Nielsen, Flusspferd im Frauenbad: Les textes de Jens Nielsen traitent de choses tout à fait banales et quotidiennes. Mais ces choses se dérèglent de façon fort étrange, car l’auteur se plaît à mettre un grain de sable dans les rouages. Résultat : de drôles d’histoires, bizarres comme celles que l’on peut lire dans «Un hippopotame au Bain des dames». Tout peut arriver. Une petite femme vit à l’intérieur d’une boule de Noël, on l’en fait sortir pour Noël, et elle est immédiatement dévorée par un chien. Ou bien c’est un hippopotame qui s’échappe du zoo, trottine en ville, jusqu’aux trams et jusqu’au Bain des dames pour ensuite, dans une minuscule goutte d’eau, revenir au zoo. Ou un grand escogriffe qui entre dans une boulangerie et demande: « J’aimerais une… » Et il a beau essayer de finir sa phrase, impossible d’ajouter un seul mot. Le processus de vente échoue, la normalité sort de ses gonds et les roues tournent à vide. Sens et non-sens se mêlent allègrement, microcosme et macrocosme se confondent, le possible dérape sans transition dans l’impossible. Dans ces textes, Jens Nielsen révèle son sens du comique, aussi affable que perfide, qui rappelle les sketch et les bouffonneries. Il est cependant un narrateur parfaitement gentil. Ses textes flirtent avec l’aimable frayeur, la charmante calamité qui ne se présentera peut-être jamais. Jens Nielsen a écrit ses histoires pour la radio : pour l’émission « Früh-Stück », sur la chaîne culturelle de la Radio-Télévision suisse. En une ou deux minutes, il s’agit de réveiller les auditeurs et les auditrices, au double sens du mot. Avec ces histoires absurdes et enjouées dans la tête, comme l’écrit l’auteur dans l’histoire intitulée « Transparence », « on avance à travers la vie avec précaution. Si on avance. » (bm) Prix fédéraux de littérature 2017 Dans ses tribunes radiophoniques, Jens Nielsen nous place dans des scènes familières de la vie quotidienne qui déraillent soudain et échappent à tout contrôle. Quel que soit l’étonnement devant ces idées presque surréalistes, ou le sourire causé par un comique de situation étrange, nous sommes pris en flagrant délit de peurs secrètes ou de vœux subversifs. Livre rempli de sagesse fantaisiste et de poésie à double sens. (Jury fédéral de la littérature)

Conseil de lecture

Pierre Wazem, Mars aller-retour: « Mars aller-retour » plonge le protagoniste, un auteur de bandes dessinées épuisé, dans une fantastique aventure. Sa maison et sa famille sont en jeu, car il n’a ni travail ni idées. Il ne peut pas non plus taper ses amis, car ceux-ci ont abandonné depuis longtemps ce misanthrope égocentrique. Toutes les sources d’inspiration semblent taries. Une fée sous l’apparence d’un hérisson portant le numéro de dossard 16 l’emmène pourtant sur une piste merveilleuse : par un trou dans le sol d’une vieille remise, il aperçoit la planète Mars … et dès lors tout se mélange. L’auteur se retrouve d’un coup sur la planète rouge et se rencontre lui-même en petit garçon qui aimerait bien devenir dessinateur. Dans le désert martien, il retrouve enfin à nouveau le temps et l’inspiration pour une bande dessinée qui lui tenait à cœur depuis longtemps, « Mars aller-retour ». Ce récit bizarre qui est en même temps une prophétie autoréalisatrice, Pierre Wazem l’enchâsse dans une suite d’images fantastiques au double sens du terme. Le dessin amoureux des détails qui raconte les tourments du quotidien se dissout dans des tableaux pittoresques où l’humeur s’assombrit mélancoliquement ou s’éclaircit plus tard sur Mars dans un orange puissant. Par ses subtils changements d’ambiance, Wazem crée une atmosphère enchantée entre rêve et réalité, où tout devient soudain possible pour son héros. Comme Alice au Pays des merveilles, il disparaît du monde par un trou et se réveille tel le Petit Prince sur l’astre étranger. Le héros sort littéralement de lui-même et se retrouve de manière féérique dans sa famille et dans sa vie de tous les jours. (Beat Mazenauer, trad. par. Christian Viredaz)

Conseil de lecture

Kuno Raeber, Das Ei: Le narrateur est assis dans un café de Rome, face au Palais du Latran, et planche sur une feuille de papier blanche. Il repense au forfait scandaleux de Laszlo Toth qui, en 1972, avait endommagé la Pietà du Vatican à coups de marteau, devançant ainsi le narrateur et ne lui laissant d’autre choix que de renouveler par les mots ce délit peu glorieux, «de façon plus accomplie et plus parfaite». Témoignage fascinant et exalté d’une passion mystique, «Das Ei» relate en des égarements fantastiques le désir d’annihiler Marie – symbole de la femme et de la mère – et avec elle, sa propre existence de fils. A cet effet, le narrateur s’imagine dans la continuité des martyrs chrétiens. Aspirant à la liberté, mais en même temps prisonnier du royaume des mères, il rêve de créer une communauté de frères. Le roman de Bruno Raeber est un unique cri strident contre l’instance maternelle et mariale. Cette fronde désespérée contre la femme, alliée à une extase mystique pour le masculin, confère à sa prose quelque chose d’étrangement démodé. Mais l’écrivain réussit à saisir ce caractère démodé par une langue lourde et emphatique qui rend palpables la sainte gravité et l’esprit de rébellion. Aucun autre écrivain ne sait rendre aussi bien que Bruno Raeber le déchirement de qui se trouve pris entre discipline et débauche, spécifique au monde catholique de la Suisse centrale. (Beat Mazenauer, trad. par Marielle Larré)

Nouvelles parutions

Christoph Santner: Alles KI?. Goldmann.

Nouvelles parutions

Hanspeter Spörri: Steff Signer. Die musikalische Biografie: Ein Stück Schweizer Rock-, Pop- und Highmatt-Geschichte. Appenzeller Verlag.

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