22-03-2015 20:16 - Interview avec Ngaidé Ibrahim Hamath

Interview avec Ngaidé Ibrahim Hamath

Hebdomadaire Mauritanoix - Ngaidé Ibrahim Hamath est natif de la ville de Boghé, un intellectuel qui vit actuellement aux USA, nous l’avons rencontré ici à Nouakchott de passage, il a accepté de répondre à nos questions.

Hebdomadaire-Mauritanoix : Pouvez-vous vous présenter Mr Ngaidé au lecteur ?

Permettez-moi de vous remercier très sincèrement de l’invitation. Pour satisfaire à la tradition je dirais brièvement que j’ai suivi d’abord une formation universitaire en Mauritanie sanctionnée par une Maitrise en Sciences Naturelles (première promotion de l’ISS, devenu FAC des Sciences) ensuite une autre formation au Machrek arabe (Egypte) sanctionné par un DESS en Gestion de l’Environnement à l’université Internationale de Langue Française d’Alexandrie dite Université Senghor et enfin une dernière aux USA –sanctionnée par un MBA en Management.

Je suis un assez bon polyglotte parce que je parle le Français, l’Anglais et l’Arabe, le hassanya et bien sûr le Pulaar qui est ma langue maternelle. Je ne sais ni parler Wolof encore moins le soninké.

L’exil m’a conduit d’abord en Egypte et aux USA où je vis depuis bientôt 14 ans. Mais je reste profondément lié à la Mauritanie qui m’a vu naitre en 1965 dans la ville de Boghe et au sein d’une famille financièrement modeste. Boghe est une ville de rencontres, de brassage et surtout une ville multinationale. En effet, c’est l’une des rares villes où on retrouve une symbiose et une cohabitation entre les composantes de la Mauritanie que sont les Harratine, les Wolofs, les Soninké, les Bambara, les maures, les peulhs et même les fameux serer. C’est dans cette ville que j’ai appris à aimer et à respecter l’autre.

C’est aussi dans cette ville que j’ai appris à ne jamais prétendre à une supériorité sociale encore moins à faire l’amalgame entre certaines traditions négatives du Futa et le cultuel. En un mot, j’ai appris à être ce que j’ai toujours voulu être: UN DEMOCRATE né. Grâce aux pérégrinations de mon défunt père (Administrateur de son état), j’ai parcouru plusieurs villes et villages de notre beau pays dont Aioun El Atrouss, Nouadhibou, Tidjikdja, F’derick, Sélibabi, Ould Yenge et Akjoujt où j’ai fait mon CP1. J’ai alors pu apprendre auprès de biidaan et de Kwaar l’arabe, le coran et la Sunna loin de la coercition et des politiques d’aliénation largement pratiquées aujourd’hui. J’adore le hoddou et j’aime la musique maure, même si, je juge qu’on fait passer cette dernière à l’excès dans les mass-médias officiels et privés.

Hebdomadaire-Mauritanoix : Quelle analyse faites-vous de la situation économique, politique et sociale du pays?

Vous me posez ici une question très grave. Très grave parce qu’exigeant de moi de la rigueur et de l’objectivité. La situation économique, sociale et politique délétère crève l’œil. Je demande des excuses aux économistes mais je vais me livrer brièvement à une analyse sur l’immensité des dégâts économiques dans un pays gâté par les nombreux et irréfragables potentiels humains et naturels. Ce que je dis ici est entièrement vérifié et vérifiable.

Parler de notre économie nationale ne peut se faire sans faire une analyse du secteur primaire essentiellement structuré autour des mines, du pétrole et des ressources halieutiques. Ce secteur représente le premier poste d’exportation de la Mauritanie (compte tenu de son apport dans le PIB) et souffre énormément du manque de transparence et de gestion vertueuse. Les richesses tirées des exportations minières et pétrolières n’ont eu aucune retombée sur l’économie nationale. Et en plus, les investissements nécessaires à l’exploration et à l’exploitation des ressources génèrent automatiquement un déficit commercial et une hémorragie financière énorme.

Il s’y ajoute la gestion patrimoniale évidente des ressources par l’élite gouvernante majoritairement arabe flanquée de ses noirs réduits pour l’essentiel à un travail d’exécutants. Les mauritaniens ne sont pas informés de l’exploitation et de la gestion des ressources minières. On entend à chaque fois via les communiqués du conseil des ministres l’octroi de permis de recherche et d’exploitation par des firmes étrangères ayant fait leurs preuves dans d’autres pays.

Or, une économie ce n’est pas uniquement l’accumulation des ressources ou leur exploitation ou leur exploration, l’économie c’est aussi le profit monétaire et le retour de l’investissement sous forme de mieux-être social, éducatif, culturel et sous forme d’emplois durables et d’accès à de meilleurs soins entre autres. Ensuite l’économie c’est aussi un encadrement rigoureux d’une vision stratégique et durable qui profiterait au pays dans son entièreté. Cette rigueur passe par un effort général visant à discipliner la société et les institutions en charge de la gestion des ressources publiques.

Aussi les ambitions doivent être déclinées et conçues et connues dans l’intérêt de tous. Hélas ! En Mauritanie on n’est pas dans cette dynamique. Au contraire, l’élite s’est consciemment engagée d’abord à se servir des devises générées et ensuite, à fouler aux pieds les principes qui fondent la paix sociale par le détournement systématique des fruits des activités liées à ce secteur.

En effet, les fruits des activités minières, pétrolières, halieutiques ont été pillées et captées pour financer des activités d’accumulation de richesse par des clans, des tribus, des familles entières et surtout à financer les campagnes politiques visant à enraciner le règne des potentats qui se sont succédés à la tête du pays.

Or les richesses nationales sont sacrées. Et la sacralité des ressources nationales est consacrée aussi bien par le droit moderne que par la religion musulmane; Cette sacralité dicte des comportements (civisme) que les hommes et les femmes impliqués dans la gestion des ressources publiques se doivent d’avoir. Ensuite charge aux institutions de garantir la protection des ressources via un système de contrôle et un système juridique fiables.

Et comme on le sait, le comportement de l’élite est un «vecteur sociologique» important qui peut ou bien encourager ou bien déstructurer une société quelconque. Or nos gouvernants ont toujours, et de façon ostentatoire, érigé le vol, le pillage des ressources publiques en une «vertu» de gestion. Il est devenu normal pour toute personne responsabilisée de voler à loisir les populations alors que la gestion vertueuse et sobre ainsi que la probité morale et intellectuelle de l’élite sont à l’état de droit, au développement et à la paix sociale, ce que sont l’Iliade et l’Odyssée à l’histoire grecque.

Aujourd’hui, il est triste de constater l’existence d’une classe de fonctionnaires et de gens qui se livrent à un enrichissement extraordinaire via les ressources publiques au point que l’état fonctionne essentiellement comme un système de corruption organisée et dont le centre nerveux est l’institution la plus élevée du pays à savoir la présidence; Or, il incombe au président de la république, plus qu’a quiconque, de s’investir pour préserver nos richesses par des pratiques orthodoxes et partant donner à notre économie la santé qu’elle mérite.

Notre secteur primaire souffre énormément du manque de transparente qui porte préjudice durablement à l’environnement économique et social. S’y greffent la crise que connaissent la SNIM et les exploitations minières parallèles frappées par une baisse des exportations, toutes choses contribuant à accélérer une descente aux enfers. Idem pour le secteur halieutique et le monde rural où la crise est totale avec notamment cette obsession maladive de l’élite à vouloir déposséder les propriétaires de leurs terres. Là c’est le racisme d’état qui est en vigueur et qui explique toutes les politiques conçues par l’état. Et vous avez vu la violence infligée à l’IRA et aux militants de Kaawtal lors de leur brillante campagne de sensibilisation sur le foncier, n’est ce pas là une preuve éloquente, entre autres, de l’idéologie économique de ce régime.

Or, dans un pays civilisé, le développement agricole doit avoir pour fondement une philosophie de partenariat entre l’état et le monde rural. C’est dans le respect strict des principes et des valeurs qui fondent la paix sociale que s’opère tout développement. Et pour paraphraser Feu Mamadou DIA du Sénégal, le développement doit être un contrat entre l’état et la nation dans une dynamique d’éducation, de partenariat et de gestion concertée et non pas imposé par les gouvernants et aidés en ce là par des intellectuels corrompus et obsédés à préserver uniquement leurs avantages égoïstes.

C’est ce qui explique malheureusement la décision d’octroyer des terres dans le département de Boghe où l’Etat cherche à violenter de nouveau des populations meurtries. C’est une erreur tout aussi politique, conceptuelle que sociale associée à de l’injustice infligée à des populations déjà meurtries, humiliées, exclues et réduites à des sujets.

C’est cette erreur doublée d’injustice et sur fond de racisme d’état que Biram, Djiby SOW et les autres ont voulu dénoncer.

Au final, notre économie, via le secteur primaire, qui devait servir de locomotive économique de notre pays, se porte mal et risque, à terme, de nous enfoncer dans la misère totale.. L’état critique dans lequel se trouve ce secteur explique en grande partie l’asphyxie et le désordre qui règnent dans les secteurs secondaire (usines de transformation, transport, construction) et tertiaire (les banques et les services avec les scandales passés et présents). Et la responsabilité du gouvernement est TRES GRANDE. La nature raciste et despotique des régimes qui se sont succédé aggrave naturellement la situation économique de notre pays.

Le bilan est éloquent : On est dans un establishment arabe, la réalité de l’économie est dans les mains des arabes. Les industries de transformations, les manufactures, les banques et autres services sont totalement domestiqués par les arabes. Le réseau économique et la richesse circule essentiellement au sein de la communauté arabe.

Personnellement je vis aux USA mais à chaque fois que je viens ici je fais le tour de Nouakchott. Je vais dans les administrations, dans les sociétés d’état, dans les sociétés privées et dans les universités et même à la police et la gendarmerie pour voir comment les gens sont reçus et traités et je regarde les comportements des travailleurs et je lis les affiches et j’essaie de me faire une idée du nombre d’employés etc.

A la fin de mes randonnées, je suis scandalisé et un sentiment de culpabilité de traverse et je nourris cette détermination à combattre parce que ce que je vois c’est le racisme, le laisser-aller, l’absence totale d’autorité et de responsabilité, toutes choses ayant plongées beaucoup de pays dans la guerre civile et la misère. Nous ne sommes guère en présence d’un Etat au sens que lui donnaient l’érudit et l’intellectuel Souleymani Baal initiateur de la révolution démocratique au Fuuta Toro. Nous sommes dans un état géré, conçu et administrée dans le seul intérêt des arabes alors que le noir reste confiné au rôle d’un exécutant souvent zélé et qui se suffit d’une maison coquette, d’une voiture tout terrain et d’un troupeau de bétail.

A l’étranger, cet état refuse de doter nos ambassades d’une véritable mission économique structurée. Nos ambassades rappellent éloquemment les nomenclatures et la manière de voir de l’élite gouvernante d’un Etat despotique sans vision ni ambition si ce n’est opprimer la composante noire. S’il est vrai que nous avons des transactions commerciales avec la Chine, la France, le Japon, il est faux de dire que l’Etat fait profiter la population parce que n’ayant aucun véritable programme d’essor économique proportionnel à ses potentialités et à ses ambitions.

Hebdomadaire-Mauritanoix : Quelle est selon vous la solution ?

Cette situation économique que je viens de présenter est indissociable de la situation politique explosive qui n’est que le résultat de la nature du pouvoir politique. Et à ce niveau personnellement, j’en veux à tous les Hommes politiques et à tous ceux et celles qui s’agitent dans ce domaine. En effet, au delà de toute subtilité politique ou idéologique à laquelle aussi se livrent les politiciens et en dehors d’amalgame, il faut dire que le vrai point d’achoppement récurrent demeure celui de la cohabitation entre mauritaniens et ce au niveau de toutes les sphères (politique, sociale, culturelle, économique, institutionnelle, éducative et j’en passe).

Et je pense personnellement qu’il faut absolument normaliser la situation et les relations entre mauritaniens. Normaliser la situation c’est d’abord s’accepter mutuellement comme citoyens et engager courageusement un débat national rigoureux, objectif qui passerait en revue sans tabous ni gêne les problématiques nationales à tous les niveaux et éviter de se mettre le doigt dans l’œil ; Ces problématiques sont, entre autres, le racisme d'Etat, l'esclavage et les autres pratiques sociales utilisées par l'hégémonie arabe pour se perpétuer.

Ce travail de normalisation échoit obligatoirement aux hommes et aux femmes politiques et pas aux filous et autres caméléons politiques qui ne cherchent qu’à assouvir leurs égoïsmes. Les aideront dans cette tâche patriotique les intellectuels et non pas nos fameux instruits sans épaisseur intellectuelle toujours à l’affût de strapontins; Ce travail donc échoit à de tels acteurs mais aussi à tous les mauritaniens paysans, élites religieuses, éleveurs, étudiants, chômeurs, la diaspora qui doivent tous aller aux tréfonds d’eux-mêmes pour sauver ce pays parce c’est de cela qu’il s’agit.

Il est du devoir de tous de prendre conscience des dangers qui nous guettent. Il y eut des pratiques racistes, esclavagistes et féodales inacceptables soutenues et initiées par le pouvoir politique. Cette vérité politique incontestable reste d’actualité et revêt une importance capitale face aux actes récurrents d’injustice et aux nombreuses violations impunies commises en 1986, 1987, 1989 et 1991.

L’opposition actuelle ne nous rend aucun service parce que toujours autour d’une table pour discuter d’épiphénomènes et non pas des problématiques qui sont à l’origine des crises récurrentes. L’urgence et l’ampleur des changements à amorcer sont tellement énormes que nous ne pouvons nous offrir le luxe de gaspiller le temps à discuter et à dialoguer sur des questions futiles du genre : élections transparentes ou de dissolution des chambres d’enregistrement. Ni l’opposition encore moins le pouvoir n’a une vision juste de ce qui devrait sauver le pays. Et j’affirme ici, que même en présence d’archanges et d’extraterrestres, Ould Aziz et ses «militants» ne peuvent satisfaire à une demande liée à la transparence : La transparence n’a jamais fait partie de la terminologie des dictatures.

De surcroit, il est du devoir de tous les citoyens d’accepter et de s’accepter avant qu’il ne soit tard dans un effort d’initiation sans délais de ruptures fondamentales dans la manière de dialoguer pour la paix sociale truffée de mensonge et de jeu de cache-cache dans lequel brillent le pouvoir et une majorité écrasante de l’opposition. Il nous faut des Hommes et des femmes honnêtes qui sont prêts à sacrifier de leur temps pour sauver ce pays et l’expurger des mains d’Hommes peu scrupuleux qui vont le conduire à très prochainement à la guerre civile. Il est clair que seule une irruption d’un esprit d’ouverture et d’une immense culture de dialogue et de débat puisée de nos valeurs humaines universelles nous permettront de sortir de cette crise et de faire des mauritaniens des hommes et des femmes qui comprennent leurs intérêts et celui du grand nombre.

En vérité, l’obsession maladive à vouloir faire de la Mauritanie un état exclusivement arabe est à mon humble avis la menace permanente la plus grave qui hypothèque l’existence même du pays.

Hebdomadaire-Mauritanoix : Vous êtes de la diaspora bogheenne, quel est l’apport de la diaspora bogheenne dans la ville de Boghe?

L’apport de la diaspora Boghéenne doit être celui de tout de fils de terroir exilé qui reste attaché à son terroir par souci de solidarité non seulement économique mais intellectuelle, sociale, culturelle et autres. C’est dans ce sillage que devrait s’inscrire tout apport. Je ne connais pas toutes les régions dans lesquelles vivent les ressortissants de Boghe mais aux USA existent une association des Boghéens qui, a mon avis personnel, manque d’agressivité et d’agenda clair. Cette association a fait certaines activités dans la santé mais nous vivons une certaine léthargie dont les causes sont diverses. Cette situation semble être la même dans les autres régions du monde (Europe, Afrique). Ce contexte particulier a fait dire à plusieurs Boghéens que l’apport de la diaspora n’est pas visible voire négatif.

C’est fort de cette situation qu’a été prise récemment une initiative visant à fédérer toutes les associations de la diaspora Boghéenne dans l’objectif de créer la synergie nécessaire pour plus d’efficacité et d’efficience. Nous sommes dans la première phase qui est la plus difficile à savoir sensibiliser tous les ressortissants de la diaspora sur l’idée de se fédérer. C’est d’ailleurs le prétexte que nous avons saisi pour nommer l’association qui s’appelle FEDICOB (Fédération de la diaspora de la commune de Boghe). Nous devons comprendre que nous sommes à Boghe une seule communauté de destin appelée à vivre ensemble contre vents et marrées.

Nous ambitionnons conjuguer nos efforts, additionner nos ressources et réfléchir ensemble pour exécuter des projets d’envergure départementaux ou communaux. Nous ambitionnons intervenir dans les domaines sanitaires, éducatifs, environnementaux, agricoles, culturels, sportifs etc. Un bureau provisoire a été mis en place formé récemment dont le président est notre ainé Djibril Sanghott avec comme vice-président l’ingénieur Abdoul Boubou SOW. Dans le bureau, on trouve aussi des gens de Boghe Escale, Touldé, Thienel, Mboon Diéry, Thide, Boghe Dow tous vivant dans des régions différentes.

Un autre aspect crucial est de comprendre qu’à la FEDICOB on s’interdit la politique dans sous toutes ses formes. Ce qui nous motive dans cette structure particulière est notre obligation individuelle à servir notre ville et au delà notre pays parce qu’on envisage même des mécanismes de solidarité nationale en cas de catastrophe et/ou de problème d’envergure nationale parce que l’amour et le respect ainsi la solidarité et la charité se moquent de la race, des tribus ou des régions. De cette philosophie découle une autre qui voudrait qu’à la FEDICOB nous optons aussi travailler avec toutes les autorités aussi bien communales que gouvernementales. Notre devise est de servir notre ville et d’utiliser tous les moyens légaux, justes et transparents pour y parvenir sans porter une atteinte à la cohésion sociale. Nous nous inscrivons uniquement dans la bienfaisance, l’entraide et le souci de préserver la cohésion sociale. Quant à la politique nous la pratiquerons en dehors de FEDICOD.

Hebdomadaire-Mauritanoix : Quel est votre Mot de fin?

Je terminerais par une parole du prophète PSL. Or la parole du prophète est non seulement un enseignement mais une obligation à suivre et à promouvoir: «Le meilleur Jihad est une Parole juste face à un souverain injuste.»

Propos recueillis par Albert Camus Diop ( hebdomadaire-mauritanoix)



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