.
copie de http://webhome.infonie.fr/saura/crime.html

L'AVORTEMENT EST UN INFANTICIDE

en voici l'horrible preuve !!!


Sommaire : Introduction - Le début de la vie - La loi Veil - Les methodes d'avortement - Que deviennent les foetus et les bébés avortés - Les risques de l'avortement - Conclusion.


Début de l'article, cliquez ICI

LA LOI "VEIL"

Sous la pression des puissantes associations du planning familial" financés très grassement par nos impôts, Mme Simone Veil alors ministre de la santé, avait présenté en 1975 un projet de loi visant à dépénaliser l'avortement. Josqu'alors, les femmes qui voulaient se faire avorter allaient pour la plupart en Grande-Bretagne.
Le parlement adopta donc ce texte et le Président de la république française, Mr. Valérie Giscard d'Estaing, le signa.
Cette loi autorise l'avortement à la demande de la mère:

Dans ces deux derniers cas l'avortement peut être pratiqué à n'importe quel moment de la grossesse.
Autant dire que la loi permet une interprétation juridique au sens le plus large et ne fait que légaliser l'interruption volontaire de grossesse sans apporter aux femmes enceintes "en état de détresse", une protection juridique solide. D'ailleurs, les commissions d'aide à la maternité, prévues par la "loi Pelletier" de 1979 n'ont jamais été mises en place. Les femmes consultent donc le "planning familial" qui n'étudie qu'une seule solution pour elles: l'avortement!.

De plus, la "loi Veil" va à l'encontre des conventions internationales, à commencer par la "Déclaration des droits de l'enfant", texte adopté le 20 novembre 1959 par l'O.N.U:

"L'enfant, en raison de son manque de maturité pysique et intellectuelle, a besoin d'une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d'une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance".

La loi va également à l'encontre de la "Charte européenne des droits de l'enfant", adoptée le 4 octobre 1979 par l'assemblée du conseil de l'Europe:

"Le droit de chaque enfant à la vie, au logement, à une nourriture convenable et à un environnement adéquat dès le moment de la conception, devrait être reconnu et les gouvernements nationaux devraient tout mettre en oeuvre pour permettre l'application intégrale de ces droits".

Autre texte dont la France s'en moque: la "Convention internationale des droits de l'enfant", adoptée par l'O.N.U. le 20 novembre 1989:

Préambule: "L'enfant a besoin d'une protection spéciale et de soins spéciaux, avant comme après la naissance.

Article 6: Les états reconnaissent que tout enfant a un droit inhérent à la vie. Les états assurent dans toute la mesure du possible la survie et le développement de l'enfant".

Afin de se protèger contre cette convention, et ainsi mépriser lâchement le droit le plus fondamental de l'enfant à naître, la France a apposé une réserve de taille à cette convention:

"L'article 6 ne saurait être interprété comme faisant obstacle à l'application des dispositions de la loi française relative à l'interruption volontaire de grossesse".

Enfin, autre texte de droit international dont l'état français n'en a que faire: la "Recommandation du conseil de l'Europe, du 24 septembre 1986, sur l'utilisation d'embryons et foetus humains":

"L'embruyon et le foetus humain doivent bénéficier en toute circonstance du respect dû à la dignité humaine".

Dans le pays qui a vu naître la déclaration universelle des droits de l'homme on serait en mesure de s'interroger très sérieusement sur le bien fondé d'un tel texte...



LES METHODES D'AVORTEMENT

Il est prouvé dans le chapitre "le début de la vie" que l'enfant, dès sa conception, est un être humain qui se développe de façon naturelle dans l'enveloppe maternelle. C'est donc une personne qui est tuée, comme le montre très bien la vidéo "le cri silencieux" (ou en commandant la vidéo à la DFT). Les réactions de l'enfant dans le ventre de sa mère y sont filmé. On peut voir comment l'enfant tente de résister à cette horrible agression extérieure. Comme un adulte sous la torture, il ouvre la bouche comme pour pousser un hurlement de douleur; l'enfant tente de fuir l'instrument chirurgical qui va le tuer et cherche à se réfugier dans une autre partie du ventre de sa maman. Je vous recommande particulièrement cette vidéo et de la présenter aux mamans avant que l'irréparable ne soit accompli.

Les téchniques employées

Les méthodes employées pour pratiquer un avortement sont les suivantes:

Le curtage : Un instrument coupant est introduit dans l'utérus afin de détacher l'enfant de la matrice. Cette intervention découpe l'enfant par morceau et l'arrache de la cavité utérine !!

L'aspiration : C'est la méthode la plus répendue pour les avortements jusqu'à 10 semaines. Le col de l'ut'érus est dilaté, puis à l'aide d'un aspirateur dix fois plus puissant qu'un aspirateur ordinaire, l'enfant est littéralement déchiqueté, broyé et aspiré. Son corps n'est plus qu'un amas informe. Les morceaux sont recueillis dans un bocal relié à la canule. photo 1

La pilule RU 486 : Cette pilule est une substance chimique qui stoppe la survie de l'oeuf; l'enfant n'étant plus alimenté, il meurt de faim.
La cible principale de ce produit était destiné à tuer des millions d'enfants du Tiers-Monde; mais les puissants groupes de pression, dont le planning familial, ont tout fait pour autoriser cette pilule dans le monde entier.

L'injection de sel : Cette méthode abortive est sans aucun doute la plus barbare de toute. Elle est utilisé après la 16ème semaine lorsqu'il y a suffisamment de liquide amniotique autour du bébé. On retire une certaine quantité de ce liquide et on le remplace par une quantité équivalente d'une solution saline très concentrée. Le bébé avale ce liquide qui va alors lui provoquer pendant de nombreuses heures des convulsions extrèmement violentes qui vont le brûler vif. La mère est sous anesthésie car cette torture embryonnaire la ferait souffrir à elle aussi, et elle ressentirait très fortement les mouvements de son enfant agonisant. Dans les 24 heures qui suivent, elle expulsera un enfant mort dont la peau est complètement carbonisée. enfant carbonnisé par injection de sel


Poubelle d'une clinique d'avortement  Injection de prostaglandines : Les prostaglandines sont des hormones qui, injectées, vont provoquer des contractions de l'utérus d'une extrème violence; à tel point que l'enfant est éjecté dans les 48 heures. Il arrive parfois que la tête du bébé se détache de son corps. Pire encore: parfois, le bébé survie à ce choc, et dans ce cas il est tué, puis jeté à la poubelle.

(Les prostaglandines utilisées pour provoquer un avortement sont toujours chimiques et administrées à très fortes doses. Avant la législation réglementant cette tuerie, les produits utilisés étaient le permanganate de potassium, le plomb, le mercure, l'arsenic, le phosphore blanc, la quinine... ce qui bien sur provoquaient parfois aussi la mort de la femme.
La législation n'a fait que légaliser ce qui existait déjà; la science a fait le reste...)

Bébé laissé sans soin, jusqu'à sa mort! L'hystérotomie :Cette méthode est utilisée pour les avortements tardifs et est identique à une césarienne. L'enfant nait vivant, mais est tué par le médecin ou laissé sans aucun soin jusqu'à ce qu'il meurt. L'agonie peut alors durer des heures...
L'hystérotomie est le prélude à l'euthanasie, grand rève de Hitler! De l'aveu même d'un médecin avorteur néo-nazi, celui-ci déclara déjà en 1974: "Nous envisageons le temps où une mère aura le droit de faire tuer son enfant jusqu'à quelques heures après sa naissance. Quand un bébé est né, sa mère devrait pouvoir l'examiner, s'assurer de sa conformité à des normes, et décider s'il doit vivre ou non; mais il reste bien du chemin à parcourir avant que cela soit admis par la société dans son ensemble... Il faut avancer pas à pas. Ce qui vient ensuite sur l'agenda, c'est l'euthanasie. Nous essayons de comprimer la vie, de la télescoper, de façon que l'existence de tous s'achève au soixantième anniversaire et que le gros de la population soit entre vingt et cinquante ans. Tout cela entre dans le cadre de la puissance nécessaire pour remodeler le monde." (extrait du livre "babies for burning" (bébés au feu), publié en 1974).

Dans le même registre, Jacques Attali, ancien conseiller économique de François Mitterrand, a déclaré lors d'une interview, en 1980: "L'homme vit plus longtemps que par le passé. Dès qu'il dépasse 60/65 ans, il ne produit plus et il coûte cher à la société... L'euthanasie sera donc, dans tous les cas de figure, un des instruments essentiels de nos sociétés futures. Des machines à tuer permettront d'éliminer la vie lorsqu'elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse." (publié dans le livre de Michel Salomon: "l'avenir de la vie", ed. Seghers - ISBN: 2-221-50237-X). Le mot est lâché!... Face à la dénatalité, aux nombres de chômeurs qui sont autant de cotisants en moins pour payer les soins des malades et les pensions des retraités qui vivent "plus longtemps que par le passé", la solution la moins "coûteuse" serait donc l'euthanasie!. Une société qui inscrit la mort dans son idéal, court inéluctablement à sa perte!.

Que deviennent les foetus et les bébés ?

Les foetus sont incinéré ou jeté aux ordures... tout du moins c'est la réponse officielle. Pourtant, en pratique, un véritable marché du foetus s'est développé, rapportant des sommes d'argent considérables aux cliniques et hôpitaux pratiquant des avortements.

Des médecins ex-avorteurs confient que lorsque les foetus peuvent être mis de côté, ils sont vendu aux laboratoires de produits chimiques qui les utilisent pour en faire des cosmétiques. Là encore, nous sommes en plein dans des pratiques nazis puisque les SS fabriquaient eux aussi du savon avec la graisse des juifs!...

Aux Etats-Unis, dont l'avortement est pratiqué jusqu'au 9ème mois de grossesse, les bébés sont vendu à la recherche pour des expérimentations scientifiques (exposition à des radiations nucléaires et autres...) ou à la recherche médicales!.

En Belgique, des femmes sont payées pour porter leur enfant indésirable jusqu'au sixième ou septième mois afin de le céder ensuite, bien vivant, à la médecine ou à l'industrie cosmétique comme matière première.

En France, des embryons humains sont actuellement en congélation à Jouy-en-Josas, et rien n'interdit de penser qu'ils pourraient être réimplantés dans une ou plusieurs décénies dans la matrice de leur arrière petite-fille génétique.

Enfin, pour clore ce chapitre, il est à noter qu'il existe une coïncidence assez troublante entre ceux qui fournissaient à Hitler le gaz de la mort et ceux qui fabriquent aujourd'hui la pilule abortive RU 486. Ceci nous ramène au procès de Nüremberg: les dirigeants du cartel IG Farben y ont été inculpés pour crimes de guerre, car ayant fourni à travers leur filiale Degesch le tristement célèbre Zyklon B, gaz de la mort, utilisé pour l'extermination des juifs dans les chambres d'Auschwitz. Ces livraisons du gaz mortel étaient parfaitement légales car la loi allemande de l'époque autorisait la liquidation des juifs. Comme IG Farben, Roussel-Uclaf fabrique légalement un poison mortel. Curieusement, IG Farben n'a pas été démantelée après la seconde guerre mondiale; mais a été simplement divisée en trois groupes:

Hors, Roussel-Uclaf est entièrement contrôlée (à 54% du capital) par le groupe Hoechst, issu de IG Farben!!.

Les risques de l'avortement

Les chiffres de l'Organisations Mondiale pour la santé sont clairs: 180.000 femmes dans le monde meurent chaque année des suites d'un avortement légal, soit 1 décès pour 300 avortements. Il est donc prouvé que l'avortement a deux fois plus de risques de tuer la femme qu'un accouchement normal.

Sur le plan médical, la femme multiplie par deux le risque d'un cancer du sein en raison du bouleversement hormonal causé par l'arrêt brutal et prématuré de la grossesse.

Il y a également risque pour les accouchements qui suivent un avortement: la femme peut donner naissance à un enfant mort-né car le sang de la mère aura fabriqué des anticorps.

Enfin, il est prouvé que 50% des stérilités sont consécutives à un ou plusieurs avortements.



CONCLUSION

La femme peut, bien sur, décider en toute liberté si elle veut avoir une vie sexuelle; mais par respect de sa personne elle doit exercer la maîtrise de son corps avant la conception, car une fois que l'enfant est conçu, même s'il est encore au stade de zygote, la décision de tuer ou de laisser vivre l'enfant ne concerne plus la femme seule: elle concerne d'abord l'enfant, dont l'avis, et pour cause, ne peut être demandé. En effet, si la femme a parfaitement le droit de disposer de son propre corps, l'enfant dispose lui aussi d'un droit absolu.

bébé de 21 semaines sauvé par les médecinsDu point de vu biologique, le foetus n'est pas un appendice du corps maternel. Bien que nourri et logé par lui, il est totalement distinct. Son patrimoine génétique est différent et il fabrique son propre sang qui n'entre jamais en contact direct avec celui de sa mère. Il lui arrive d'être malade, de mourrir, alors que la mère est en bonne santé. Inversement, la mère peut-être malade sans que le foetus s'en ressente. Bien des fois, on a retiré un foetus vivant du ventre de sa mère qui venait de mourir, et on arrive même à maintenir parfois une femme enceinte décédée en survie biologique artificielle afin de permettre au foetus de pouvoir se développer in utero jusqu'au seuil de viabilité et le retirer ensuite vivant pour qu'il achève sa gestation en couveuse.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur l'avortement, aussi je vous conseille de lire deux exellents livres et de regarder une vidéo sur ce sujet (disponibles à la DFT):

- "Bébés au feu", de Michael Litchfield et Susan Kentish - Ed. apostolat des éditions, 1978, 243 pages. (ISBN France: 2-7122-0050-0): 50 F; ou Ed. Paulines ( ISBN Canada: 0-88840-469-7)
- "L'avortement, la tragédie cachée d'une société qui s'effondre", de Daniel Rivaud et Alexandre Lukasik - Ed. Nouvelle alliance, 1994, 280 pages. (ISBN: 2-940054-02-9): 60 F
-Vidéo "le cri silencieux", du Dr. Nathanson - Ref: TVP 993, 30 mn. - 150 F.


Où vont les âmes des enfants avortés ?

Il vient donc d'être prouvé que l'embryon est un enfant au stade de développement et que l'avortement tue ce bébé. A partir de là, il est légitime de se poser la question où vont les âmes de ces petits êtres.
Nous le savons, personne ne peut entrer dans le Royaume de Dieu s'il n'a pas été régénéré par l'eau et par l'esprit (Bible: Jean III-5), c'est ce qu'on appele le baptème. Les bébés avortés n'échappent pas à cette règle dictée par Dieu. Toutefois, beaucoup de grands saints, tel saint Augustin et les nombreux docteurs de l'Eglise s'accordent à dire que les âmes de ces bébés sont dans un lieu appelé "les limbes" où ils ne peuvent voir Dieu, mais où ils ne souffrent pas non plus. Ils sont toutefois privé du bonheur du paradis. C'est pourquoi il est nécessaire de baptiser l'embryon car, sans celà, en lui volant la vie temporelle on le priverait également de la vie éternelle. Là encore, son sort dépend complètement de la volonté des autres, et sutout des membres de la famille.

Beaucoup de catholiques ne le savent pas, mais toute personne (même non baptisée) a le droit de baptiser en cas d'extrême urgence. En conséquence, savoir donner ce sacrement est primordial lorsqu'on se trouve face à un bébé non baptisé en danger de mort. L'absence de parrains n'est pas, en soi, une nécessité dans ce cas là.

Dans le cas où l'embryon séparé de sa mère vit encore, il faut le baptiser sans délai par trois aspersions d'eau en disant:
"N, Je te baptise au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit".
(N étant un prénom chrétien ; exemple: Joseph ou Marie)

S'il y a doute, il devra être baptisé conditionnellement:
"N, Si tu vis, ou si tu es capable d'être baptisé, je te baptise "au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit".

Si l'embryon est encore enveloppé dans l'amnios, il faut ouvrir cette membrane et donner le baptême par aspersions, toujours "Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit", sans oublier de citer le prénom.

Enfin, si l'enfant vit encore après avoir été avorté, il devra être de nouveau baptisé (pour être certain que les trois aspersions ont été faites correctement).

C'est, bien entendu, un très grand malheur pour ces bébés avortés d'être à jamais privé du royaume des Cieux parce que personne ne les baptisent. Si la société leur refuse le droit à la vie dans ce bas-monde, ne les privons pas de la vie dans l'au-delà auprès de Notre Seigneur Jésus-Christ... Faisons-nous un très grave devoir de conscience de refuser l'avortement!.


Terminons simplement par une petite devinette:

Au XVIIIème siècle vivait une famille dont le père était synphilitique et la mère tuberculeuse. Un an et demi après leur mariage ils eurent un enfant, mais celui-ci, né aveugle et malade, mourut six jours seulement après sa naissance. L'année suivante, la mère se trouve de nouveau enceinte.

Question: Conseillez-vous l'avortement de cette seconde grossesse?

OUI  . NON



Le début de la vie informations complémentaires Accueil
Accueil



Histoire du Portugal | Les voyants | Les apparitions | Prières | Info | Forum | Librairie | Links | Guide


Site protègé par le Copyright © E-mail : saura@infonie.fr