La tête dans le guidon du millésime, la filière vin garde son souffle pour les inévitables prochaines difficultés du parcours. Si elle lâche un soupir, elle ne moufte plus. Mais que les gouvernants ne s’y trompent pas : s’il n’y a plus de manifestation de mécontentement, ce n’est pas par disparition miraculeuse du mal-être, des reproches et des revendications. C’est tout simplement parce que la saison ne s’y prête plus. N’ayant plus la capacité