ph+arts et sa société éditrice Euphonia Historique et actualité * Le magazine ph+arts a été créé en août 1998. * Ses revenus proviennent principalement des abonnements, des ventes au numéro, des cotisations des membres, du sponsoring et de la publicité. * ph+arts assure la publication régulière d’articles et traitant de l’actualité artistique, de Suisse et des pays voisins – ainsi que de divers événements littéraires, musicaux, gastronomiques et œnologiques. La découverte de nouveaux travaux artistiques fait partie des priorités. * Formée de Pierre Hugli et Serena Martinelli, gardiens de ph+arts, l’équipe fait appel à des collaborateurs bénévoles. * La publicité pure constitue l’un des piliers des revenus de ph+arts et sa raréfaction y est aussi durement ressentie que dans le reste de la presse. Mais d’autres soutiens ont été mis en place, qui permettent entre autres à différents partenaires, en particulier les galeristes et les sponsors des artistes, d’assurer la survie de ph+arts qui a ainsi instauré un dialogue permanent avec ses différents partenaires, dont le nombre et la fidélité lui assurent une autonomie financière et rédactionnelle. * Quant à l’association éditrice Euphonia, elle a été fondée le 6 novembre 1986 à Lausanne par Pierre Hugli, journaliste, Me Gérald Mouquin, avocat, et Jacques Stöckli, accordeur de pianos. * En 1995, après avoir soutenu la Galerie du Buffet de la gare à Lausanne, Euphonia édite un magazine d’art mensuel. Le premier magazine s’est appelé Cimaises. En tant qu’éditeur, Euphonia a géré l’entreprise, dont le rédacteur en chef était Pierre Hugli. * En septembre 1998, l’association Euphonia a décidé de lancer un autre magazine, comprenant l’équipe initiale, enrichie de mécènes et sponsors, dont la présence a renforcé l’association en nombre et en fonds. Le comité a été entièrement renouvelé, sous la présidence de Me Charles Bavaud, avocat. Des modifications de statuts sont intervenues, de manière à accueillir un plus grand nombre de membres. Le nouveau magazine s’est d’abord intitulé ph+, pour acquérir l’année suivante le nom de ph+arts. * En 2008, lors de la célébration des 10 ans de ph+arts, Euphonia a réuni, au Casino de Montbenon, à Lausanne, quelque 300 personnes, membres de la société et invités, parmi lesquels le conseiller aux Etats Luc Recordon, le président du Grand Conseil Jacques Perrin, le municipal Olivier Français, le directeur des Services industriels Jean-Yves Pidoux et l’ex-cheffe de la culture à Lausanne Marie-Claude Jéquier. Le chanteur lausannois Pascal Auberson s’était livré à une improvisation retraçant les étapes de ph+arts. .* En 2018, toujours au Casino de Montbenon ph+arts a célébré son 20e anniversaire avec, entre autres, un récital de la violoncelliste valaisanne Estelle Revaz dans trois Suites de Bach. * Le rythme de publication de ph+arts a été réduit à six parutions par an, ce qui en faisait une publication bimestrielle. Après avoir été imprimé par Swiss Printers (Imprimeries Réunies, Renens), jusqu’à août 2015, le magazine a été imprimé par Genoud Entreprise d’arts graphiques SA, Le Mont s/Lausanne. Chaque numéro de ph+arts comptait 32 à 48 pages, dont un mémento d’une douzaine de pages annonçant toutes les expositions importantes de Suisse. Régulièrement, des cahiers spéciaux sont publiés – après des monographies consacrées à André Gasser et René Guignard, le dernier a été consacré, en juin 2015, au quartier du Flon à Lausanne: «Paul Rambert, Rien n’est jamais terminé». * Le 1er décembre 2019 a paru le dernier numéro papier de ph+arts., No 143. Une fête accompagnée d’une magnifique exposition a célébré l’événement, organisé dans l’atelier lausannois de l’artiste peintre et graveur Jacques Walther le 14 février 2020, peu avant l’apparition d’un virus qui a alimenté le premier éditorial paru le 30 mars 2020 sur le site de ph+arts . Lausanne, avril 2021 |